Cela a été maintes fois répété, les applications de rencontres comme Tinder et Adopte un mec créent des déséquilibres importants entre les hommes et les femmes. Ces dernières détiennent les clés d’un jeu où l’immense majorité de leurs homologues masculins sortent perdants. Pourtant, dans cet univers virtuel qui leur offre tellement plus d’attention que dans la vie réelle, les filles peinent à trouver leur bonheur. Pire, les femmes sur les applis de rencontre semblent désabusées face à tous ces mecs en manque d’affection qui n’ont rien d’un potentiel grand amour.

L’excès de choix qui mine le moral

Celles et ceux qui utilisent les applis de rencontres le savent, il existe un dérèglement entre les deux sexes. Les hommes y sont nettement plus présents et tendent d’ailleurs à être moins exigeants dans leurs sélections. Les femmes sur Tinder se retrouvent donc rapidement avec un nombre likes importants. Elles ont dès lors tout le loisir d’être très strict dans leurs choix.

Un jour, une connaissance m’a montré qu’elle avait plus de 8000 likes ! En plus de cela, ces demoiselles ont en moyenne beaucoup plus de matches que leurs homologues masculins tout en étant pointilleuses sur chaque profil.

Pour arriver à cette norme, un petit contingent de mâles dominants se partage l’immense part du gâteau. D’autres prient pour attirer l’attention d’une minorité.

La difficulté de trouver la perle rare

Bien que les hommes envient leur position de force, les femmes ne jubilent pas lorsqu’elles swipent sur Tinder. Chacune d’entre elles vit son expérience. Or, la majorité des utilisatrices ne parviennent qu’à flatter leur amour-propre.

Sans cesse sollicitées, elles doivent filtrer les demandes et ne savent parfois plus où donner de la tête. Devant d’innombrables mâles qui les mettent sur un piédestal, elles cherchent la perle rare qui remplira tous leurs critères.

Cette expérience virtuelle ne reflète pas le quotidien réel de la plupart de ces filles. Logiquement, elles se créent un égo surdimensionné. Comment rester humble face à tous ces esclaves qui ne cessent de vous complimenter sans même vous connaitre ?

Ces hommes démontrent parfois tellement peu de valeur qu’ils ne sont finalement que des jouets destinés à être rapidement remplacés par de nouveaux plus attrayants.

Lire aussi : Pourquoi de nombreuses femmes ne répondent pas sur Tinder ?

Devant cette horde de candidats potentiels, on rencontre de tout, et ce malgré une sélection au préalable. Les illettrés inondent les applis de leur superbe, “sa va ?”. Également omniprésents, les mecs en chien remuent d’emblée leur queue pour partager leur désir.

Face à ces cas désespérés il y a de quoi se sentir aussi excédé que démoralisé. Pourtant, la suite ne s’annonce pas plus réjouissante avec des hommes de plus haut niveau.

La minorité d’hommes qui renversent les règles du jeu

L’immense majorité des femmes se trouvent en position de force face à leurs homologues masculins. Une petite catégorie d’hommes détient toutefois les clés de leurs pulsions. Dans mon article sur les différents degrés, j’expliquais notamment que les étalons de niveau 3 avaient quasi toutes les filles à leurs trousses.

La majorité des femmes rêvent de plaire aux hommes de rang 3. Tout au mieux, ils accepteront de coucher avec une courtisane d’un échelon inférieur. Il ne se mettront pour autant (presque) jamais en couple avec cette dernière.

Les demoiselles de niveau 2 représentent la majorité des utilisatrices sur les sites et applis de rencontres. Elles incarnent la femme moyenne à qui on a fait croire qu’elle trouverait un jour le prince charmant. Bien qu’elles soient nombreuses à comprendre que c’est un mythe créé par Disney, la symbolique demeure néanmoins présente.

La femme lambda à l’assaut du prince charmant

Tinder et autres leur font miroiter qu’elles peuvent séduire tous les hommes et qu’il suffit de dénicher le bon dans le tas. Or, le fameux prince charmant représenté par le mâle de niveau 3 ne s’y intéressera que pour un coup d’un soir, sauf exception.

Les femmes de niveau 3 ont quant à elle la possibilité de se mettre en couple avec leur égal. Elles luttent toutefois face à une concurrence féroce. Les belles de rang 3 sont en effet nettement plus nombreuses que leurs équivalents de la gent masculine.

Ce dérèglement en leur défaveur rend parfois les utilisatrices aigries à l’heure où 80% des mecs de niveau 0, 1 et 2 sur Tinder vivent cette discrimination. À l’instar de l’immense majorité des femmes avec ces multiples d’abandonnés, les gars de level 3 jouissent de leur statut et en abusent tout naturellement.

Avec leur image de Don Juan, nous les décrivons comme les fameux “connards”. Ils profitent en fait tout simplement des règles du jeu.

Les femmes, surtout celles de niveau 2, doivent se rabattre sur les hommes de leur rang. Ceux qu’elles peuvent matcher facilement. Malheureusement, elles demeurent nombreuses à ne pas s’impliquer lors d’une discussion avec leur confrère de niveau égal.

Avant de poursuivre l’article, je vous propose de mesurer l’intérêt de poursuivre sur les applis de rencontre à l’aide de ce quiz rapide.



Dois-tu continuer à utiliser les applis de rencontres (femme) ?



Pour toi, les applis de rencontres c’est :



Avant d’aller sur les applis de rencontres, ma vie sentimentale était :



Après avoir utilisé les applis de rencontres, tu penses :



Quand un homme te plait, tu :



Sur les applis de rencontres, tu :



Quand tu utilises une appli comme Tinder, tu :



Quand je reçois une notification de Tinder ou autre :



Les applis de rencontre m’ont permis de me sentir :



Mon expérience sur les applis de rencontre ressemble plutôt à :



Tu utilises les applis de rencontres parce que :




Votre note est de

0%






Le rejet comme prise de conscience

Ce rejet encaissé quotidiennement par 80% des hommes sur Tinder devrait les alerter. Le but n’est évidemment pas de pointer du doigt la gent féminine. Or, certaines usagères des applis de rencontres ont trop joui de leur statut jusqu’à en mépriser la gent masculine.

Quand des utilisatrices sans éclats dressent vulgairement leurs envies comme une liste de courses, il y a lieu de s’inquiéter sur leur futur vie de couple.

La taille peut effectivement incarner un facteur important, mais est-il vraiment nécessaire de traiter de nain un homme de moins d’1m80 ? Non seulement c’est une allégation ridicule, mais il n’y a presque aucune chance qu’elles attirent des mecs de qualité à travers cette vulgarité.

Idem lorsque des féministes extrêmes mettent en avant par des images et des mots qu’elles détestent les hommes. Quel est le but ? Il vaut mieux se pencher vers l’homosexualité alors.

Heureusement, la majorité des femmes n’agissent pas comme ça sur les applis de rencontres et encore moins dans la vraie vie. Or je m’adresse aux plus raisonnables d’entre vous. Il est très compliqué d’évaluer votre attractivité qui repose sur le physique, mais aussi sur d’autres facteurs. Un rejet ne doit en aucun cas remettre toute notre personne en question.

Le pouvoir de se mettre à la place de l’autre

Une analyse plutôt que de rejeter la faute sur l’autre est plus appropriée. Le connard et la connasse sont souvent tout simplement des gens qui ont plus de choix et de succès. Nous nous en rendons seulement compte lorsque nous en sommes victimes. Or, nous avons presque tous été un jour le connard ou la connasse de quelqu’un.

Tout rejet est difficile à encaisser ! Ni nos amis ni notre famille ne nous mettent en alerte par rapport à cela. Si l’on en croit notre Instagram, nous sommes la personne la plus attractive du monde. La réalité est souvent plus cruelle pour la majorité des gens.

Si les hommes se prennent directement des murs sur les applis de rencontres, les femmes pensent quant à elle détenir les clés de toutes les portes. Malheureusement, elles sont trop nombreuses à posséder les mêmes clés, car les messieurs de grande valeur sur le marché sont compliqués à conquérir.

Vous êtes une femme et enchainez les matches sur Tinder. Pourtant, votre expérience sur l’appli vous frustre plus qu’autre chose et vos échanges avec les hommes vous frustrent. Venez m’exposer votre cas dans une séance de coaching afin d’y voir plus clair.