Si vous avez cliqué sur cet article, c’est que vous êtes probablement passés par de multiples échecs amoureux. Que vous soyez maladroits ou infortunés, vous vous demandez pourquoi cela semble si simple pour certaines personnes qui ne connaissent pas de déconvenues dans leur vie sentimentale. Or, à l’instar de l’image projetée sur Instagram, la réalité peut être tronquée. Ces gens à qui la chance sourit ont un désavantage par rapport à vous. Contrairement à eux, vous disposez d’une opportunité unique de vous développer davantage qu’eux.

L’enchainement d’échecs comme précurseur du changement

Tout le monde est à un moment donné de sa vie confronté à l’échec. Que ce soit à l’école, dans une activité ou en amour, personne ne peut se targuer d’avoir tout réussi durant son existence. Il n’en demeure pas moins que nous sommes assez inégaux face à une déconvenue.

Certains en connaissent ponctuellement tandis que d’autres les enchainent. Ces déceptions récurrentes font souffrir tout individu. Il faut cependant les considérer comme une chance, un apprentissage qui permet d’identifier un problème.

Le moyen suprême de développer son intelligence est de se confronter à des challenges que l’on résout seul. Bien qu’une assistance extérieure puisse être nécessaire, il n’y a pas meilleur enseignement que de chercher à dénouer soi-même ses soucis.

Cela vous aidera assurément à ne pas commettre les erreurs identiques, mais également d’anticiper plus facilement des pièges potentiels.

L’échec au service de l’expérience

Les personnes qui ont enchainé les échecs et les rejets sont aussi plus à même d’être de bons professeurs. Pour pouvoir guider un apprenti, dans quelque domaine que ce soit, dans sa quête, il faut avoir traversé les mêmes difficultés que lui.

Ces nouveaux maitres ont tout simplement une capacité d’empathie supérieure à la norme. Un jeune psychologue ne disposera peut-être pas de l’expérience nécessaire pour intervenir dans une histoire de divorce.

L’enchainement de revers pousse à l’action à moins que vous ayez choisi l’actuelle mode de victimisation permanente. Un individu qui ressent une gêne a souvent tendance à attendre que cela passe avec le temps.

Celui qui a vécu un échec tend à trouver une source extérieure coupable de celui-ci. Or, la personne qui s’en prend plein la tête et accepte que face aux récurrences elle ait une part d’imputabilité, cherchera les outils pour améliorer sa condition.

Ce discours doit évidemment être nuancé ! Il n’engage pas les vraies victimes de diverses formes de violences dont elles n’ont aucune responsabilité.

L’homme rejeté en amour avec l’effet de levier le plus important

Davantage habitué au rejet que son équivalent féminin, l’homme lambda incarne le profil type de la personne qui peut le plus se développer. Il possède un certain potentiel, mais face à des rivaux plus beaux ou ayant plus de ressources, il demeure souvent invisible pour un grand nombre de femmes.

Toujours sollicitées sur les réseaux sociaux et les applis de rencontres, les demoiselles de la génération Y et Z ont le loisir de mettre les prétendants en concurrence. Ceci leur permet d’aisément augmenter leurs standards contrairement aux garçons qui doivent sortir du lot.

Lisez aussi : Comment un homme va réellement attirer les femmes ?

Un statut social compliqué à acquérir

Pas repoussant physiquement, l’homme lambda peut améliorer son apparence en travaillant sur son style vestimentaire, sa musculature et sa posture. Avec de nombreux ouvrages, vidéos ou autres formations en ligne, il peut facilement perfectionner ses capacités relationnelles.

Tant à l’écrit qu’à l’oral, il doit dégager l’image d’une personne agréable, drôle et subtil pour se démarquer.

Le point le plus compliqué se situe au niveau du développement du statut social. Celui qui ne part de rien ou se reconvertit professionnellement se trouvera dans l’obligation de sacrifier des soirées et weekends pour accroître sa valeur sur le marché du travail.

Ces trois éléments demeurent souvent reliés et marchent comme un cercle vertueux. Un homme qui a une apparence soignée, une carrière prometteuse et une facilité d’interaction avec les personnes qui l’entourent, a tout gagné.

Non seulement il captera l’attention de la gent féminine, mais il connait le chemin parcouru qui a été semé d’embuches. Peu enclin à retrouver sa vie d’antan, il demeurera en alerte face à de mauvais signaux.

Ceci n’est pas nécessairement le cas pour ceux qui n’ont jamais trimé. Les hommes gâtés par la nature ou les héritiers n’ont aucun mérite. En cas de passage à vide, ils n’auront pas été habitués à la galère et redresseront plus difficilement la situation.

Les femmes souvent face à un dilemme

En amour, il n’y a évidemment pas que les hommes qui souffrent. Nombre de célibataires séduisantes ne trouvent décidément pas chaussure à leur pied. Déçues par la gent masculine, ces dernières se réfugient souvent dans leur carrière professionnelle.

Bien qu’elles le fassent pour elles, ces “workoholics” prétendent communément ne pas comprendre pourquoi elles ne croisent pas de compagnon. Ce, alors qu’elles ne cessent de grimper dans la hiérarchie sociale ! Le problème ne se situe toutefois pas là.

Très courtisées sur les applis de rencontres et les réseaux sociaux, d’innombrables femmes se trouvent face à une multitude de choix. Cette position de force leur confère le pouvoir légitime d’être particulièrement sélectives dans leurs options de partenaires.

Elles se tournent néanmoins quasi toutes vers une petite catégorie d’hommes d’un niveau supérieur. Or, de ce fait elles s’enferment dans une âpre compétition, car ces messieurs aux qualités évidentes sont très demandés. Les places sont chères pour attirer leur attention plus d’une nuit !

L’avènement de la girl boss

Devant ce fantasme de trouver la perle rare, elles investissent toujours plus dans leur carrière et leurs activités. Elles pensent qu’elles parviendront à plus facilement atteindre leur Christian Grey. Or, les hommes se moquent éperdument qu’une femme grimpe dans la hiérarchie sociale. Le physique et la fertilité passent avant toute chose.

Une cheffe d’entreprise de 35 ans n’aura aucun avantage face à une caissière de 25 ans. C’est peut-être même la plus jeune qui sera choisie ! À moins d’une improbable exception, le cas inverse n’existe pas. Si vous connaissez une femme de 30 ans qui, à beauté plus ou moins équivalente, privilégiera un caissier de 25 ans au détriment d’un chef d’entreprise de 35 ans, vous m’appelez.

En grimpant sans cesse dans la hiérarchie sociale, les femmes diminuent leur nombre d’options potentielles. Elles ont évidemment le droit de s’épanouir dans leur métier. Or, dans l’optique de trouver un partenaire à long terme et fonder une famille, le “tout pour la carrière” s’apparente à un mauvais pari.

Dans une trentaine déjà bien avancée, de multiples “girls boss” ont tout atteint. En silence, elles souffrent néanmoins de ne pas avoir rencontré leur moitié. À force de vouloir recopier les hommes, elles finissent par ne plus les désirer et tombent dans la solitude.

L’enchainement d’échecs amoureux devrait vous avoir offert un apprentissage sans précédent. Pour mesurer à quel point vous êtes maitre de votre vie sentimentale, je vous invite à effectuer ce quiz qui ne vous prendra que deux minutes.